Le cannabis dans le rap : de la rébellion au business !

Le cannabis dans le rap : une relation culturelle et économique
Depuis des décennies, le rap et le cannabis entretiennent une relation unique, mêlant culture, créativité et identité. De ses origines dans les quartiers populaires américains à son impact mondial, cette alliance s'est aussi traduite par le développement d'une industrie légale florissante, notamment autour du CBD. Cet article explore les racines historiques de ce lien et son rôle dans l'émergence de marques emblématiques comme COOKIES et PRT LAB.
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Le lien historique entre le rap et le cannabis
Le cannabis occupe une place particulière dans la culture hip-hop, au point de devenir un véritable symbole pour de nombreux artistes et auditeurs. Mais comment cette plante, autrefois stigmatisée, a-t-elle trouvé sa place dans une musique née des luttes sociales et de la créativité urbaine ? Pour comprendre, il faut remonter aux origines du rap.
Les débuts aux États-Unis
Aux États-Unis, le rap émerge dans les années 1970 dans les quartiers défavorisés de New York. Ce mouvement, initialement axé sur le DJing, la danse et le graffiti, devient rapidement une plateforme d’expression pour les jeunes Afro-Américains et Latinos. Le cannabis, déjà ancré dans la contre-culture américaine des années 1960 grâce à des figures comme Bob Marley ou les mouvements beatniks, s'intègre naturellement dans cette nouvelle forme d’art.
Dans les années 1990, le rap se politise davantage et devient le porte-parole des réalités des quartiers marginalisés. Le cannabis y est souvent mentionné, non seulement comme une substance consommée, mais aussi comme un reflet des inégalités sociales et des politiques répressives. Des groupes comme Cypress Hill popularisent l'image du rappeur consommateur de cannabis, avec des morceaux tels que Hits from the Bong ou Dr. Greenthumb. Parallèlement, des artistes comme Snoop Dogg en font leur marque de fabrique, renforçant l’association entre cannabis et rap.
L’adoption en France
En France, le rap arrive dans les années 1980, influencé par la scène américaine, mais aussi par les réalités sociales locales. Les quartiers populaires, où le rap s’implante, connaissent une situation similaire à celle des ghettos américains : chômage, stigmatisation et violences policières. Le cannabis y devient un élément du quotidien, parfois comme une échappatoire, parfois comme une source de problèmes sociaux liés au trafic.
Des groupes comme IAM ou Suprême NTM évoquent indirectement le cannabis dans leurs textes, bien qu’ils soient plus centrés sur les réalités sociales globales. Plus tard, des artistes comme Booba, Rohff ou SCH adoptent une approche plus explicite, intégrant le cannabis dans leur image et leurs paroles, souvent pour renforcer leur connexion avec leur public.
Le cannabis : source d’inspiration et symbole identitaire
Au fil du temps, le cannabis est devenu bien plus qu’une simple substance consommée par certains rappeurs : il représente une véritable source d’inspiration artistique et un symbole identitaire pour les artistes et leurs fans. Décryptons ces deux facettes.
Créativité et expression artistique
La consommation de cannabis a longtemps été associée à l’inspiration artistique, notamment dans le milieu musical. Des artistes de jazz comme Louis Armstrong ou Miles Davis évoquaient déjà son rôle dans leur créativité. Dans le rap, cette perception persiste, avec des artistes qui affirment que le cannabis les aide à explorer de nouvelles idées et émotions.
Snoop Dogg, figure emblématique du rap et fervent défenseur du cannabis, a souvent souligné que cette plante l’aide à écrire ses textes et à se concentrer en studio. D'autres, comme Wiz Khalifa, partagent cette vision, considérant le cannabis comme un "partenaire" dans leur processus créatif. Toutefois, ces témoignages doivent être pris avec prudence : il est important de souligner que les effets du cannabis varient selon les individus, et son usage n’est pas une solution universelle pour la créativité.
Un symbole de résistance et d’authenticité
Au-delà de son rôle dans la création artistique, le cannabis est devenu un symbole identitaire pour de nombreux rappeurs. Dans une industrie où l’authenticité est valorisée, l’image d’un artiste consommant ou revendiquant le cannabis renforce souvent son lien avec les "vraies" réalités de la rue.
Dans ce contexte, le cannabis est aussi perçu comme un acte de résistance face aux institutions. Dans des pays comme les États-Unis ou la France, où la consommation de cannabis a longtemps été criminalisée, les artistes qui l’évoquent dans leurs textes ou leur image publique envoient un message politique, volontairement ou non. C’est une manière de défier les normes, de revendiquer une liberté individuelle et de dénoncer l’hypocrisie des politiques antidrogue.
En France, des artistes comme SCH, avec ses clips imprégnés d'une esthétique de "bad boy", ou Booba, qui a fait du cannabis une partie intégrante de sa marque personnelle, illustrent cette association entre rap, cannabis et authenticité. Toutefois, l’évolution des législations, notamment autour du CBD, a permis à cette image de s’affiner, passant d’un symbole de rébellion à une opportunité entrepreneuriale légitime.
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Les rappeurs entrepreneurs dans l’industrie du cannabis
Avec la légalisation progressive du cannabis dans de nombreux pays, une nouvelle tendance a émergé : des rappeurs, figures emblématiques de cette culture, se sont positionnés comme des acteurs économiques de cette industrie en plein essor. Parmi eux, des noms tels que Berner avec COOKIES ou Booba avec PRT LAB incarnent ce passage du symbole culturel à une démarche entrepreneuriale.
L’essor des marques créées par des rappeurs
Les artistes ont compris depuis longtemps l’importance de diversifier leurs sources de revenus, notamment dans des domaines qui résonnent avec leur public. L’industrie du cannabis, et plus récemment celle du CBD (une alternative légale en France et en Europe), représente une opportunité unique. Ces marques ne sont pas seulement des entreprises : elles prolongent l’identité et l’héritage des rappeurs qui les créent.
Aux États-Unis, cette dynamique est particulièrement forte. Snoop Dogg, l’un des pionniers de cette tendance, a lancé sa propre marque Leafs By Snoop, proposant des produits allant des fleurs de cannabis aux edibles (comestibles). De son côté, Wiz Khalifa a popularisé la souche Khalifa Kush, qui est devenue un produit phare dans les dispensaires des États où le cannabis est légal.
Mais l’exemple le plus marquant reste celui de Berner, un rappeur devenu un véritable magnat grâce à sa marque COOKIES. Ce label est désormais synonyme de qualité et d’innovation dans l’industrie du cannabis, avec une identité visuelle forte et des collaborations fréquentes avec des artistes et des influenceurs. Bien que COOKIES soit initialement associé au marché du THC, la marque s’est aussi diversifiée en proposant des produits à base de CBD, répondant aux exigences légales des marchés européens.
Focus sur COOKIES et PRT LAB
COOKIES : une référence internationale
Fondée en 2012 par le rappeur et entrepreneur Berner, COOKIES s’est rapidement imposée comme l’une des marques les plus influentes dans l’industrie du cannabis. Avec des centaines de produits disponibles, allant des fleurs de cannabis aux vêtements, la marque s’adresse à un public jeune et urbain, très connecté à la culture hip-hop.
En Europe, où les produits contenant du THC restent strictement encadrés, COOKIES a introduit une gamme de produits à base de CBD légal. Ces produits, distribués par des acteurs comme Cocorikush, offrent aux consommateurs une expérience authentique tout en respectant les réglementations locales.
PRT LAB : l’empreinte de Booba
En France, Booba est l’un des premiers rappeurs à s’être lancé dans l’univers du CBD avec sa marque PRT LAB. Fidèle à son image de pionnier et d’innovateur, il propose une gamme de produits CBD premium, allant des huiles aux fleurs, en passant par des accessoires stylisés.
Booba ne se contente pas de surfer sur la vague du CBD : il inscrit sa marque dans une démarche de qualité et de transparence, visant un public exigeant. Avec un marketing percutant et une stratégie axée sur les réseaux sociaux, PRT LAB s’affirme comme une référence pour les amateurs de rap et de bien-être. En s’associant à Cocorikush pour la distribution, la marque s’assure également une présence solide en France et en Europe.
Cocorikush : le pont entre le rap et le CBD légal
Dans cet univers en pleine croissance, Cocorikush se positionne comme un acteur clé, rassemblant le meilleur des marques liées au rap et au CBD. Grâce à une sélection rigoureuse des produits qu’elle distribue, l’entreprise offre à ses clients des garanties en termes de qualité, de traçabilité et de conformité légale.
Une distribution centrée sur la légalité
En France et en Europe, les réglementations sur le CBD imposent des critères stricts, notamment un taux de THC inférieur à 0,3 %. Cocorikush veille à respecter ces normes en collaborant exclusivement avec des marques engagées dans une production légale et transparente. Les consommateurs peuvent ainsi profiter des produits COOKIES et PRT LAB en toute sérénité.
Des produits qui allient qualité et identité
Parmi les produits proposés par Cocorikush, on retrouve :
- Les fleurs de CBD signées COOKIES, réputées pour leurs arômes uniques et leur qualité premium.
- Les huiles et infusions de PRT LAB, idéales pour les consommateurs recherchant détente et bien-être.
- Des accessoires et goodies qui renforcent l’identité culturelle des marques, comme des vêtements ou des grinders personnalisés.
En combinant l’excellence des produits et l’héritage culturel du rap, Cocorikush s’impose comme une plateforme incontournable pour les amateurs de CBD en France.
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